
On est au mois d’août, il fait plutôt froid, ça sent l’automne et, tout à coup, alors que je viens d’acheter des pêches pas très mûres, je me laisse tenter par des poires… elles sont marquées « Françaises », je pense qu’elles ont du mûrir assez vite à cause des températures de juillet, et elle atterrissent (pas trop fort quand même) dans mon panier, à côté des haricots verts et des tomates des Andes.Je croise des touristes Italiens qui font leurs courses, ils doivent être déçus de voir notre marché. Ici, ce n’est jamais...
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